la Parva
La Parva c'est en gros la station de ski proche de Santiago, Santiago qu'on voit là sous la grisaille (sous toute la grisaille).
Par rapport aux stations françaises ils eurent moins à tondre vu que c'est plus haut et plus désertique.
Un des rares endroits où on a le droit de marcher sur le chemin. D'habitude c'est seulement les VTT ; ce qui peut s'entendre vu qu'ils sont beaucoup plus nombreux que les marcheurs ; les seuls qu'on croisa étaient Belges.
Le tourisme montagnard est beaucoup moins développé qu'en Europe ; on s'en rend rapidement compte par l'absence de chemin, de balises, de carte utilisable, de matériel pas cher aussi, et la facilité d'accès de mûres mures parfois.
Le Cerro Pintor, où on aurait dû aller si la sortie n'avait pas été massive ou si on était parti plus tôt ou si on avait marché plus vite.
Là je serais bien incapable de dire tous les noms de la rama, mais il y a une belle brochette de Sebastián et un certain nombre de Pablo. Et 4 Français. Ils sont tous bien sympas.
La descente de 4000 à 3000 en courant ne fit pas de bien à tous les talons de ceux qui avaient juste des zapatillas. Enchaînée à la descente jusqu'à 500 en voiture, ça ne me fit pas trop de bien à la tête.
Par rapport aux stations françaises ils eurent moins à tondre vu que c'est plus haut et plus désertique.
Un des rares endroits où on a le droit de marcher sur le chemin. D'habitude c'est seulement les VTT ; ce qui peut s'entendre vu qu'ils sont beaucoup plus nombreux que les marcheurs ; les seuls qu'on croisa étaient Belges.
Le tourisme montagnard est beaucoup moins développé qu'en Europe ; on s'en rend rapidement compte par l'absence de chemin, de balises, de carte utilisable, de matériel pas cher aussi, et la facilité d'accès de mûres mures parfois.
Le Cerro Pintor, où on aurait dû aller si la sortie n'avait pas été massive ou si on était parti plus tôt ou si on avait marché plus vite.
Là je serais bien incapable de dire tous les noms de la rama, mais il y a une belle brochette de Sebastián et un certain nombre de Pablo. Et 4 Français. Ils sont tous bien sympas.
La descente de 4000 à 3000 en courant ne fit pas de bien à tous les talons de ceux qui avaient juste des zapatillas. Enchaînée à la descente jusqu'à 500 en voiture, ça ne me fit pas trop de bien à la tête.